Nous lâchons notre bivouac voisin du club de boxe thaïe fort sympahtique au pied de la falaise d'Ao Nang et traçons vers des rivages moins fréquentés. La route longue est gratifiante : à Hat Yao (il semblerait qu’elles soient plusieurs à porter le même nom, celle-ci se trouve au bout de la route 4036), langue de terre entourée de mer, on se sent en Malaisie profonde. Les maisons sont très modestes et rares, les mosquées très nombreuses au contraire et les femmes toutes voilées. Trois kilomètres de plage rien que pour nous, des coquillages épatants, c’est juste planant !
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