Un peu de musique, ça manque depuis Cuba. Voici ce que nous entendons 10 fois par jour ici, dans les bars ou boutiques.
Cliquez ici, n'ayez pas peur...
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Vraiment pas génial… après le père, le fils !
Le dernier soir nous allons faire nos adieux à l’enchanteresse Mer des Caraïbes. Un peu tristes.
Nous tombons pile sur le départ d’un vaisseau pirate qui s’en va chasser le trésor volé par son vaisseau ennemi (les enfants ont regretté, moi je ne crois pas que nous aurions bien supporté les 3 heures de show). Pour nous consoler, nous retournons à la Plaza Palapas pour un burrito et un tour de voiturette électrique.
Après la perte de la carte visa (oubliée par Eric à la pharmacie et retrouvée le lendemain), la perte de l’appareil photo (oublié par Eric dans le lounge de l’hôtel et retrouvé 2h plus tard) et la seconde perte de l’appareil photo (tombé sous la voiture lorsque je me suis levée et retrouvé sous la voiture 1h plus tard), nous comptons sur un sommeil réparateur pour nous remettre la tête sur les épaules !
Nous quittons Cancun le 23 juillet au matin, chargés comme des baudets, avec en prime des souvenirs qui ne rentrent pas dans les bagages. Un premier coup de stress à l'aéroport: cette fois pas de retard ni d'annulation, notre vol n'apparaît nulle part. Après quelques recherches, nous retrouvons sa trace: c'est American Airlines qui opère pour British Airways et l'heure est avancée de 45 minutes.
Adios Mexico! Franchement désolée de ne pas avoir apprécié tes beautés à leur juste valeur.
En 2h, nous atteignons l'aéroport monstrueux de Miami. A l'immigration américaine, nous tombons un policier complètement shooté qui s'endort à la lecture de nos passeports ou entre 2 saisies sur son clavier. Nous faisons diversion pour le tirer de son sommeil (il faut le faire quand même). Deuxième coup de stress : le policier ne retrouve pas l'ESTA d'Héloïse (autorisation d'entrée sur le territoire américain, également requis pour des passagers en transit, les 3h sur le sol américain nous aurons coûté 14 USD chacun, un scandale). Il finit par demander de l'aide à ses collègues qui sont aussi impuissants que lui et concluent par un "laisser pisser" (sic). On est épatés (ou plutôt sur le cul, il n'y a pas d'autres mots), c'est pas à Cuba qu'ils auraient été aussi laxistes. Ils laissent tellement pisser et passer qu'ils nous laissent partir et oublient de me contrôler. Heureusement que je vérifie toujours les tampons... (question d'habitude dit éric). Nous faisons donc demi-tour pour que je me fasse scanner la tronche et les empreintes (c'est pas que ça me plaise, mais je n'ai pas très envie d'être coincée à la sortie). Inutile de préciser que les flics se sentent mal. C'est quand même le comble pour les USA!!!
Nous embarquons sur un énorme 747 de British Airways (notre compagnie préférée) à 17h20. Sur les 7h de vol, nous ne réussissons qu'à soustraire 2h de sommeil grâce aux cris stridents de la marmaille alentour.
La tension monte à l'approche de Londres, car nous n'avons que 2h30 pour rejoindre la gare de Saint Pancras et prendre notre Eurostar. Vingt minutes de retard, des kilomètres de couloirs, c'est la course (à 7h du matin avec une nuit quasi blanche, les enfants ont assuré). Nous aurons de la chance jusqu'au bout : l'immigration est vite bouclée et nos bagages sont au rendez-vous.
Nous courons prendre un taxi dans lequel nous sautons à 7h30. 45 minutes plus tard (et 80 livres sterling en moins...) nous sommes à la gare et là ,3e coup de stress ou de colère : Eric se fait fouiller, ou plutôt vider entièrement son gros sac à dos plein à craquer et confisquer son Opinel, strictement interdit dans le train. Par contre, ils ne disent rien pour les deux couteaux suisses. Pas moyen de discuter, le chef de la sécurité est un âne buté et nous n'avons pas le temps.
Nous partons, dans un soupir collectif de soulagement, à 9h de Londres et arrivons une heure plus tard à Calais (11h locales). Notre comité d'accueil est sur le quai, avec la banderole de bienvenue : Mina, Elise, Bertrand, Théotime et Marius. Séquence émotion!
Ca ne faisait pas 5 minutes que nous étions arrivés que 2 gendarmes nous interpellent pour savoir qui nous sommes, ce que nous faisons avec cette banderole, etc... Bienvenue sur la terre des libertés !
ATTENTION CA VA BARDER, LESZAT SONT DE RETOUR!!!!!!!!!!
1 commentaire:
Toutes les belles aventures ont une fin... mais ce n'est que pour mieux rebondir!
Nous avons suivi vos aventures d'après Costa Rica avec intérêt et envie... Surtout depuis que nous avons réintégré nos pénates auvergnates!
Bon réadaptation à la vie (et à la méteo!) française!
Ceux qui vous ont précédé d'un mois sur ce bon vieux continent: Cyrille, Sandrine, Matteo et Titouan
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